Le macronisme peut-il croire en une renaissance ?
En 2016, le parti En Marche d’Emmanuel Macron comptait 350 000 militants.
Mais après deux mandats à la tête de l’État, les rangs du camp présidentiel ne rassemblent plus que quelques dizaines de milliers d’adhérents. Pourquoi sont-ils partis ? Est-ce déjà la fin de la macronie ?
À l’approche de l’élection présidentielle de 2027, Gabriel Attal a repris la direction du parti, désormais rebaptisé Renaissance. S’inscrit-il dans la continuité de son mentor ou marque-t-il une rupture ? Pourra-t-il remporter l’élection présidentielle avec un parti vidé de ses adhérents, ou devra-t-il s’appuyer sur une union du bloc central ?
Océane BOURDENET et Théo BURRINI